La releveuse Colibri, montée sur un mât à l’avant d’un tracteur interligne, dispose d’une tête de relevage légère (300 kg, mât inclus). Les mouvements du mât sont contrôlés par l’hydraulique du tracteur. Ceux de la tête sont commandés par des vérins pneumatiques alimentés par un compresseur attelé sur le trois points.
Le montage de la tête sur balancier permet à l’outil de relever la vigne en continu entre 2 et 4 km/h. Concrètement, après avoir saisi les fils entre deux roues à gorges, le chauffeur relève et écarte la tête de relevage. Puis cette dernière remonte, se referme et dépose automatiquement les fils dans les encoches prévues au niveau de chaque piquet.
La releveuse Colibri, actuellement en phase d’essai et de mise au point, sera vendue entre 13 000 et 15 000 euros (compresseur en sus).
Martin Caillon
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