Lors du colloque sur l’avenir des droits de plantations, organisé ce matin au Palais du Luxembourg, Catherine Vautrin, auteure d'un rapport prônant le maintien des droits de plantation, a expliqué que la libéralisation comportait des risques de dépréciation de la valeur des exploitations viticoles, ainsi qu'un risque de captation de notoriété pour les appellations les plus connues.
Par Aurélia Autexier et Marine Gramat
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