Une soixantaine de vignerons ont participé à l’arrachage des 3 ha de vignes ce 27 octobre en Champagne. Deux d’entre eux expliquent leur geste. Pascal Férat, président du syndicat général des vignerons en Champagne estime que « les viticulteurs doivent s’organiser pour maîtriser le foncier, sinon ils risquent de disparaître ». Et Patrick Boivin, président du collectif des viticulteurs évincés par l’hôpital qui reconnaît que « ça fait mal aux tripes d’arracher une parcelle que l’on a travaillée pendant vingt-cinq ans ».
Deux témoignages entre raison et émotion.
Par Marine Gramat et Aude Lutun
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