Début 2002, les vignerons méridionaux avaient réclamé et obtenu l'ouverture d'une distillation de crise pour 4 Mhl. Nos partenaires européens avaient accepté que ces vins soient payés, en partie, par l'Etat français pour être retirés du marché. Au bout du compte, les producteurs n'ont détruit que 2,8 Mhl. Responsables professionnels et Onivins expliquent cela par la petite récolte. Le Languedoc n'aurait-il pas surestimé ses difficultés ?