Bien des programmes de recherche prétendent rendre la vigne résistante au mildiou et à l'oïdium par le transfert, par génie génétique, d'un unique gène. Or, selon des chercheurs allemands, les vignes et les hybrides naturellement résistants ou tolérants à ces maladies le doivent à plusieurs gènes. De plus, la résistance au mildiou et à l'oïdium ne tient pas aux mêmes gènes.L'intégration d'un seul gène pourrait donc s'avérer nettement insuffisante.